INSTITUT DES NANOTECHNOLOGIES DE LYON

Avec l’explosion des usages d’Internet, ces technologies de conduction lumineuse, aujourd’hui parvenues à maturité, intéressent beaucoup les industriels.
Catherine Bru-Chevallier, directrice

Des technologies de rupture

Catherine Bru-Chevallier, Directrice INL
« Le laboratoire mène, dans le domaine des micro et nanotechnologies, des recherches multidisciplinaires de long terme, autour de technologies de rupture, avec un horizon applicatif de 5, 10 ou 15 ans. Cette temporalité particulière lui permet de pallier l’instantanéité en vigueur dans l’industrie. En particulier, l’INL mène depuis plusieurs années des recherches dans le champ de la photonique, donc dans l’utilisation de la lumière comme transmetteur d’énergie et de signaux. Cette alternative au fil de cuivre électrique présente de multiples avantages en termes de consommation d’énergie, de rapidité et de capacité. Avec l’explosion des usages d’Internet et des volumes de données échangées, ces technologies de conduction lumineuse, aujourd’hui parvenues à maturité, intéressent beaucoup les industriels. L’INL devrait déposer 3 ou 4 brevets en 2013 dans ce domaine. »

Chiffres clés 2012
  • 240 salariés
  • 3,8 millions d’euros de budget recherche
  • 30 brevets