Franck : L'accessoire qui ne me quitte presque jamais, c'est un pinceau, l'outil que j'utilise depuis toujours pour nettoyer mon clavier.
En quoi consiste le métier de data scientist ?
Je manipule les données, je traite de l'information. Le but de mon action est d'améliorer les processus internes de l'INPI.
Qu’est-ce qui te plaît dans le métier de data scientist ?
La constante évolution de la technologie, des algorithmes, des modèles de machine learning, de deep learning. C'est également la diversité des situations dans lesquelles on se retrouve, des métiers que l'on peut aborder au sein de l'INPI, autant juridiques que commerciales.
Quelles qualités faut-il selon toi pour exercer le métier de data scientist ?
Alors les qualités nécessaires sont bien évidemment les qualités professionnelles, les connaissances nécessaires pour la data science. Il y a aussi les qualités relationnelles qui sont indispensables. Il faut savoir aussi écouter les gens pour définir leurs besoins précis.
Comment s’organise ton travail ?
J'ai des projets sur lesquels je travaille, je sais ce que je dois faire. Évidemment, il peut y avoir des petits problèmes de temps en temps sur des applications qui tournent, donc il faut s'en occuper. Dans la semaine type, j'ai également du temps qui est consacré évidemment à la veille en data science, puisque c'est vraiment un domaine qui bouge en permanence. L'auto-formation est indispensable.
Qu’est-ce que tu apprécies dans le fait de travailler à l’INPI ?
Je suis entouré de juristes, d'ingénieurs, de communicants, de professions très différentes et ça c'est vraiment très enrichissant.
Comment vois-tu ton avenir professionnel ?
J’ai envie de rester à l'INPI, c'est vraiment un établissement qui est en constante évolution et qui foisonne d'idées, d'innovations, en permanence.