Gauthier : C'est un dé 20 pour le jeu de rôle. J'adore parce que ça me permet de m'évader dans mon imaginaire.
En quoi consiste le métier de chargé d’affaires en propriété industrielle ?
À l'accompagnement des porteurs de projets, des entrepreneurs dans leur stratégie de propriété industrielle. Et je vais participer également à des séminaires, des salons, des ateliers de sensibilisation de la propriété industrielle.
Quelles qualités faut-il selon toi pour exercer le métier de chargé d’affaires en propriété industrielle ?
Je dois être très pédagogue parce que je dois m'adapter à mon interlocuteur. Je ne vais pas forcément parler de la même façon à un startupper qu'à un directeur de centre de recherche. Savoir improviser, c'est très important et savoir prendre la parole en public. J'ai déjà mené des ateliers devant plusieurs dizaines de personnes, donc il faut savoir maîtriser son sujet.
Pourquoi as-tu choisi le métier de chargé d’affaires en propriété industrielle ?
Quand j'ai intégré l'INPI, j'ai découvert le métier de chargé d'affaires justement et j'ai découvert que c'était un métier de terrain. Ça m'a tout de suite fait tilt en fait dans ma tête, et c'est vraiment ce côté relationnel avec les gens qui m'a tout de suite plu.
Qu’est-ce qui te plaît dans le métier de chargé d’affaires en propriété industrielle ?
L'autonomie qu'on m'a offerte dès que je suis arrivé, ça me laisse une grande liberté dans ce que je fais et ça j'adore. Le fait d'aller vers les gens, le fait de bouger, que ce soit un métier de terrain également. On peut dire que nous on participe directement à la compétitivité de l'innovation, de la France. C'est quelque chose de très plaisant tous les jours.
Qu’est-ce que tu apprécies dans le fait de travailler à l’INPI ?
Il y a une certaine cohésion et chacun n'hésite pas à mettre la main à la pâte, même si ça ne fait pas partie de son activité principale.
Comment vois-tu ton avenir professionnel ?
Je me vois toujours sur le terrain, dans le relationnel, au plus près des entrepreneurs, de l'innovation. Il y a des opportunités à l'INPI et pourquoi pas à l'international.