Pour Fabirama Niang, il est évident qu'on réfléchit mieux à plusieurs et qu'il serait idiot de se passer d'un beau cerveau juste parce qu'il n'est pas un employé du groupe. Il va même plus loin : la recherche collaborative est inéluctable et on ne reviendra pas en arrière. En revanche, pour lui, on n’a pas encore trouvé les modalités, ni les contrats qui la facilitent au mieux. On peut résumer les principales difficultés par des questions simples : qui est censé faire quoi ? Et plus encore lorsqu'il y a des résultats : qui en tire quoi ? La propriété intellectuelle est alors évidemment un sujet central des contrats – durement négociés au cas par cas – sachant que les objectifs peuvent différer selon la nature des collaborateurs.

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